Je n’attaque pas le ministre de la Santé et je n’ai pas de problème avec lui.

Au lieu de dévoiler une prétendue machination du secteur de la santé, que le docteur Ahmed El Farissi avait menacé de révéler si ses collègues n’étaient pas réintégrés, il a été contraint de présenter des excuses aux Marocains, après que ses intentions aient été mises au jour, les accusant d’être la preuve de son silence face aux problèmes du secteur.

Dans une clarification vidéo sur les événements des jours précédents, El Farissi a tenté d’attribuer la responsabilité de la réaction à sa « mise en scène » à la presse, qui a relayé ses déclarations et son ultimatum au ministre de la Santé. Il a souligné qu’il avait menacé le ministre de façon explicite après lui avoir accordé un délai de 72 heures, menaçant de révéler des informations compromettantes si des médecins et employés d’Agadir continuaient d’être utilisés comme boucs émissaires.

Peu de temps après, le médecin a annoncé une réaction positive de la part du ministère à sa demande, ce qui a suscité un large débat au Maroc. Beaucoup ont considéré que son silence actuel est la preuve de sa complicité dans la détérioration du secteur de la santé, alors que des appels à enquêter sur ses déclarations pour éclaircir la nature de la « mise en scène » se multiplient.

Face à ces critiques, le médecin a reconnu qu’il n’avait pas su s’exprimer et que l’utilisation du terme « mise en scène » n’était pas appropriée. Il a présenté ses excuses aux Marocains, affirmant qu’il ne s’attaquait pas au ministre de la Santé et qu’il n’y avait aucun problème entre eux.

Contenu généré à partir de la version arabe de Tanja7.com

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